| Suite au Conseil des ministres du 15 avril, le Premier ministre, Edouard Philippe, a présenté le projet de loi de finances rectificative, avec notamment : 
L'extension du plan budgétaire en soutien à l’économie présenté mi-mars, de 45 milliards d’euros à 110 milliards d’euros (dont 24 milliards d’euros pour le financement de l’activité partielle)8 milliards d’euros sont prévus pour les dépenses exceptionnelles de santé pour faire face à l’épidémie, permettant d’investir dans l’achat de matériels et de masques pour près de 4 milliards d’euros, et de financer les mesures pour le personnel soignant.Une prime, exempte de tout prélèvement social ou fiscal, de 1 500 euros à tous les personnels qui gèrent la crise du COVID-19 dans les hôpitaux des départements les plus touchés, ainsi qu’aux personnels des services ayant accueilli des patients COVID-19 dans les départements moins touchés. Et pour tous les autres personnels des hôpitaux ne bénéficiant pas du taux maximal, une prime de 500 eurosUne prime versée aux personnels qui remplissent une mission décisive au sein des EPHAD et des services à domicile du secteur médico-social, avec des échanges à venir avec les collectivités locales, en particulier avec les départements, qui en sont souvent les financeurs, pour déterminer les conditions de financement de cette primeLe versement d’une aide exceptionnelle pour les plus démunis > le Collectif ALERTE a réagi suite à cette annonce (lien ci-contre).
 > lien ci-contre vers l’ensemble de son discours 
 L’Uniopss est dans l’attente de précisions sur les primes annoncées pour les soignants et le secteur médico-social. Elle avait appelé dans un courrier adressé au président de la République, avec d’autres organisations, à une prime pour l’ensemble des professionnels sociaux, médico-sociaux et de santé en première ligne dans cette crise sanitaire, quelle que soit la structure publique ou associative > lien ci-contre vers le courrier
 
 |